Cienfuegos : de l’oncle Sam à Raul Paz
Rien n'a changé depuis son départ : ses palais, ses casinos, l'immense avenue en bord de mer, les belles américaines et les belles cubaines.
Tout est en place comme au dernier jour, quand il se fit vider du pays comme un mal propre, dans la roue de son pantin Baptista.
Tout est en place sauf qu'aujourd'hui c'est nous qui sommes assis au théâtre Terry, dans le fauteuil d'Al Capone, pour écouter Raul Paz nous chanter sa version de « La Révolucion » en compagnie de Victoria Abril !
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